Lectures

Bilan du 2nd trimestre du #challengelecture japonaise

Le confinement battait son plein. Nous apprenions à utiliser nos attestations de sortie. Mais aller à la librairie, ça rentre dans quelle case ? Finalement, nous n’avons pas beaucoup changer dans nos questions.

Allez, on avance …

Le nouveau challenge de lecture japonaise était de trouver un livre dont le héros à un super pouvoir. Pour changer un peu, je vous proposais « Crossfire » de Miyuki Miyabe aux Editions Picquier. Miyuki Miyabe est, pour moi, la reine japonaise du crime.

Ensuite, le challenge lecture japonaise était de trouver un livre dans le thème d’ une histoire racontée du point de vue de plusieurs personnages.

Je vous proposais à découvrir « Soundtrack » de Hideo Furukawa aux Editions Picquier. Dans un Tokyo presque post-apocalyptique, où le changement climatique a fait des ravages, les deux protagonistes racontent leur « adaptation » dans cette ville transformée. 

Pour cette nouvelle semaine du challenge, nous étions au milieu de notre confinement, et il fallait trouver  un livre qui se déroule dans l’espace.  

Mon enfance a repris le dessus et c’est « Capitaine Albator, le pirate de l’espace » qui s’est imposé. Ah, si j’avais pu vous proposer « San ku kai » (« san ku kai, c’est la bataille » ça y est, vous avez l’air en tête ?)

Le prochain challenge de lecture japonaise est de trouver un titre avec l’un des mots suivants : salé, sucré, amer, épicé. Là aussi, j’étais en panne d’inspiration. Alors, je vous ai proposé deux titres sont de Ryoko Sekiguchi : « le fade » et « l’astringent », les 2 chez  Argol Éditions.  Vous m’avez proposé « Nagori la nostalgie de la saison qui vient de nous quitter » de Ryoko Sekiguchi (encore elle !) sur le goût très particulier du nagori. Ca tombait bien, le livre venait de ressortir dans les libraires en collection de poche.

Pour la 18e semaine du challenge, le thème était de  trouver un livre dont l’histoire se déroule sur une durée maximum de 24 heures.

C’est « le passage de la nuit » de Haruki Murakami qui était mis en lumière.

Le 10 mai, il fallait proposer un livre que vous avez déjà lu et adoré.

Pour rire, je vous ai proposé mon 1er guide Lonely Planet de voyage au Japon. Plus sérieusement, ce sont trois ouvrages que je vous proposais :

– les contes d’une grand-mère japonaise aux  Editions Picquier ;

– Kafka sur le Rivage d’ Haruki Murakami France aux Éditions 10/18 ;

– Kyoto Limited express d’ Olivier Adam aux Editions Points.

Pour le 20e challenge lecture japonaise, le thème était une biographie.

« Totto- chan » de Tetsuko Kuroyanagi aux Éditions Pocket m’est apparu comme une évidence.

C’est l’histoire d’une célèbre présentatrice de la télévision japonaise qui a animé pendant plus de 40 ans une émission quotidienne. 

J’aurais également pu vous proposer « Maiko » de Koyoshi de Kyoto aux Editions Picquier.

Le 24 mai, je vous invitais à faire découvrir un livre dont le héros est un adolescent.

Je vous proposais « 1969 » de Murakami Ryu aux Editions Picquier. L’auteur y raconte sa dernière année de lycée en 1969 dans une petite ville de Kyushû.

Le challenge suivant était de trouver un livre avec une créature imaginaire. C’est donc logiquement « Yôkai, dictionnaire des monstres japonais » de Shigeru Mizuki aux Pika Edition. Je ne sais pas si vous vous rappelez, mais en janvier, je suis allée jusqu’à la ville de Shigeru Mizuki pour visiter le musée des yôkai et admirer la fameuse allée parsemée de statuettes imaginées d’après les dessins de Shigeru Mizuki et d’un stamp rally.

Cette semaine, pour le challenge lecture japonaise, je vous invite à proposer un livre sur une célébrité que vous adorez.

Alors, je pourrais faire simple et dire ma mère mais elle n’a pas de livre à son nom. Je vous invite donc à découvrir « la vie en gris et rose » de Takeshi Kitano aux Editions Picquier. 

Le réalisateur, acteur y raconte son enfance difficile, pauvre mais heureuse  dans le Japon de l’après-guerre.

On m’a alors proposé « Pourquoi les japonaises ne vieillissent pas et ne grossissent pas » de Naomi Moriyama. Au-delà des recettes et des conseils diététiques, l’auteure retrace en partie l’histoire gastronomique du Japon, en y mêlant des souvenirs d’enfance.

Le 14 juin le thème était l’amour. Oui, je vous l’accorde, ce thème aurait pu être proposé autour de la Saint-Valentin.

Je vous proposais « amours en marge » de Yôko OGAWA chez Actes Sud et vous m’avez proposé « les amours interdites », Mishima Yukio

« le restaurant de l’amour retrouvé » de Ito Ogawa. Et j’ai lu aussi « amours en marge » qui est très bien, d’ailleurs j’ai posté une critique sur Babelio 😉

Le jour de la fête de la musique et de l’Equinoxe, il fallait trouver un roman initiatique. C’est l’un des premiers livres japonais que je vous proposais  « Kafka sur le rivage » d’Haruki Murakami aux Editions 10-18.

Pour terminer le 1er semestre, le challenge est de trouver un livre dont la couverture est bleue. En cherchant dans ma bibliothèque, j’ai trouvé deux livres :

  • « Le Restaurant de l’amour retrouvé » d’ Ito OGAWA aux Editions Picquier. Un peu de rouge, mais globalement, la couverture est bleue.
  • Ensuite, « confession japonaise » de Sébastien Raizer aux Editions Mercure de France. Sébastien Raizer est un écrivain français installé au Japon. Il était venu présenter son ouvrage chez Prado Paradis Librairie l’an dernier.

Et voilà le bilan du 2nd trimestre, c’est fini.